Mon collègue

Quand Sébastien est arrivé à la caserne, pour être intégré, l’officier contestait sa venue au sein du groupe, car Sébastien était haut comme trois pommes.
Lors de plusieurs opérations délicates, on s’est aperçu que notre petit collègue était rusé comme un renard et très bon négociateur pour calmer les trafiquants. Grâce à lui, on n’avait pas besoin de récupérer les forcenés.
Lors de debriefings, lui, qui était têtu comme une mule, savait se rendre gai comme un pinson : c’était un boute-en-train !

Frédéric